vendredi 18 février 2011

Les élus sont satisfaits et affichent un certain optimisme

Nous vous en parlions hier, nos élus ont rencontrés à Paris, M. Thierry Mariani, secrétaire d'état aux transports près le ministre de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, dans le cadre du projet de ligne LGV.



Ce que l'on peut dire de cette rencontre : A la sortie de l'entretien, un relatif optimisme prévalait chez les élus : «Nous sommes satisfaits, l'entrevue semble positive, le ministre a entendu nos préoccupations.

C'est donc un ministre qui a une connaissance objective des problématiques liées à ce genre de dossier auprès duquel nos élus ont pu exposé clairement tous les désastres et destructions tant immobilières, écologiques et humaines que fait peser cette variante A62.

A retenir que le ministre va demander à RFF (Réseaux ferrés de France) d'avancer les conclusions de l'étude le plus vite possible, à mai-juin et de repousser les réunions publiques sur les projets à 4 voies, TER et LGV, notamment à Saint-Jory.

Mme Imbert (députée) ne manque pas de rappeler que "Le ministre a été à notre écoute, a bien compris les inquiétudes". Elle précise que de son côté, elle vois le ministre le mercredi à l'Assemblée, et qu'elle ne manquera pas de le solliciter à nouveau".

A noter, pour le caractère pitoyable de la démarche, que cette rencontre était hélas suivie d'une demande supplémentaire concernant la variante A 62. Cette demande était soutenue par Mme Barèges, mairesse de Montauban ainsi que le représentant local d'USV pour Saint-Jory.
L'opportunisme politique de certain n'a pas de limite, au-delà de cette action, nous y voyons, en pleine campagne électorale pour les cantonales, une récupération. La récupération d'un combat avant tout citoyen afin de l'utiliser comme une tribune politique pour y faire passer des idées mais pas de convictions.
Nous ne comprenons d'ailleurs pas ce qui justifie que Mme Barèges s'investisse autant dans cette variante, si ce n'est par intérêt politique.
Nous attendons des réponses, viendront-elles un jour, nous l'espérons.


Nous continuerons de notre côté à suivre le dossier, mais par dessus tout restons vigilants et mobilisés pour faire entendre notre désarroi, y compris au delà des frontières de notre département, face à la tâche indélébile que représente cette variante A62 dans ce projet LGV.

Lire l'article de la Dépêche du Midi du 18 février

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